Le téléfilm "Un amour à taire" diffusé lundi sur France 2, a réunit près de 6 millions de téléspectateurs selon Médiamétrie.

Le DVD de cette fiction sort aujourd'hui en France et certaines grandes chaînes de supermarché, Auchan et Carrefour, ont réfusées de le mettre en vente.

Les raisons de leur refus :

Auchan : Aucune demande de ventes n'auraient été faite.

Carrefour : Estime que le DVD ne se vendra pas.

Dans certaines régions, il est même impossible de trouver ce téléfilm si l'on ne possède pas internet pour se l'acheter en ligne.

Les chiffres sont tombés et la durée d'écoute quotidienne moyenne d'un français est de 3h52 minutes, soit 11 minutes de plus que l'an dernier.

Différents facteurs sont à l'origine de ces 11 minutes en plus, d'abord l'arrivée et le succès de 1ère compagnie, puis la diversité et la nouveautés des programmes tels que the 4400 ou encore Oui chef !. Mais surtout le froid qu'il fait dehors nous force a rester enfermé.

La cérémonie des 7 d'or pourrait revenir sur le devant de la scène, enquête réalisé par Europe1 et diffusé ce matin à l'antenne :

Nous avons enquêté, et nous avons découvert que dans l'ombre, les choses avancaient très sérieusement. Et Endemol pourrait même produire cette cérémonie qui pourrait être diffusé sur TF1 ou sur France 2. Dossier Complet par Laurent G. pour Europe 1 :

En allant sur le site internet de Télé 7 jours qui organise la fameuse cérémonie, on a l'impression que le temps s'est arrêté il y a un an et demi. A la rubrique 7 d'or on y découvre toujours la présentation de l'édition 2002.

Depuis, et bien depuis rien, à part cette soirée à la discothèque l'Amnésia, la bien nommée, puisque pas grand monde ne se souvient qu'on y a décerné, sans caméra, les derniers 7 d'or au coeur de l'hiver 2003.

Pourtant, à entendre les responsables des 7 d'or, c'est promis-juré-craché, la cérémonie n'est pas morte, mais elle va sacrément changer : 

D'abord les nommés ne seront plus désignés par les chaînes comme c'était la tradition C'est jury de journalistes tv qui devraient préselectionner les émissions, les journalistes et les animateurs.

Ensuite, le public sera systématiquement sollicité pour donner son avis, histoire d'éviter une remise de prix entre professionnels de la profession, comme on dit.

Autre nouveauté de ces 7 d'or nouvelle formule, c'est en tout cas le souhait du patron de télé 7 jours, on va créer des nouvelles catégories, je cite, plus déconnante, comme pourquoi pas le 7 d'or du flop de l'année.

Alors tout ça, c'est très joli mais qui va retransmettre l'émission ? L'alternance voudrait que la prochaine édition soit diffusé sur TF1, mais ce qui va faire beaucoup parler, c'est que les organisaterus des 7 d'or ont décidé de faire appel à une société de production extérieur à la chaîne pour mettre ces nouveau 7 d'or en musique. Et Patrick M. (patron de tv7jrs) révèle que ce n'est pas n'importe qui :

"On travaille avec plusieurs maisons de production qui nous ont approchées d'ailleurs, à savoir Glem et Endemol, et la porte est ouverte dans l'appel aux chaînes, TF1 ou France 2, probablement, ça se passera entre l'une des deux."

- Si on vous dit Endemol met le grappin sur les 7 d'or, ça va vous énerver ?

- Non, puisque Endemol c'est une maison de production qui a de bonne idées et il faut les appliquer au goût du public actuel. Et nous on est prê à travailler avec eux.

- Ils ne rachèteraient pas la marque "7 d'or" ?

- Non, non.

- C'est pas Miss France quoi !?

- Non, nous n'en sommes pas là. En revanche, il faut préserver cette marque, c'est une très jolie marque.

Les choses avancent avec Endemol, puisque les organisateurs des 7 d'or rencontreront l'un de ces dirigeant Xavier Couture dès la semaine prochaine.

De toute façon il faut aller très vite, si on imagine un prime time dès la fin du mois de juin. L'autre hypothèse, ce serait une diffusion au tout début de la renteé.

Dépèche du 27/01 à 15:54 

Le Conseil supérieur de l'audiovisuel a adopté une recommandation sur l'emploi de l'anglais, demandant notamment aux télévisions et aux radios privées de "s'efforcer d'utiliser le français dans le titre de leurs émissions".

Dans une recommandation publiée jeudi sur son site internet, le CSA demande "aux éditeurs de services de télévision et de radio privés de s'efforcer d'utiliser le français dans le titre de leurs émissions". Dans l'hypothèse "où ils feraient le choix d'un titre en langue étrangère", le Conseil "préconise une traduction verbale ou visuelle de ce titre en vue d'une bonne compréhension par le public".

"Il est difficile d'être inattentif et pire encore inactif face à une surabondance de termes anglais ou anglicisés à la télévision et à la radio", relève le CSA dans un rapport.

Notant que "la valorisation des mots anglais a une répercussion dans l'inconscient collectif, et tout particulièrement chez les jeunes", la mission Langue française du CSA s'est inquiétée auprès des conseillers pour la langue française des sociétés privées de télévision de la multiplication de programmes portant des noms comme "Star Academy ou Loft Story, Popstars ou Fear factor, Charmed ou Totally Spies".

Selon le CSA, "une telle tendance relève d'une supériorité postulée de l'anglais et procède du sentiment diffus de l'infériorité ou du caractère désuet de la culture francophone".

Le "danger du franglais est moins de +polluer+ notre langue que de suggérer au public que sont plus admirables et désirables, actuelles et +dans le vent+ les réalités ayant reçu l'onction de l'anglophonie".

La recommandation publiée par le Conseil vise selon celui-ci à remettre "les pendules à l'heure", poursuit le rapport du CSA, "sans porter atteinte à la liberté de communication, mais en cherchant à garder à la communication audiovisuelle son intelligibilité et à notre culture son identité".
© AFP.

http://actu.voila.fr/Depeche/depeche_media_050127145431.i9ozzluf.html

Nous vous proposons quotidiennement les audiences des émissions, des téléfilms et films qui ont été diffusés la veille en prime-time (depuis peu, nous rajoutons quelques chiffres de second partie de soirée). Mais peut être, vous êtes-vous posé les questions suivantes "Comment ça marche ? Comment on calcul tout ça ?". Voilà pourquoi aujourd'hui, nous vous avons préparé ce petit dossier.

L'audimat , comment ça marche ?

L'audience, c'est le baromètre de la télévision. On n'hésite pas à passer à la trappe des émissions après un premier numéro peu convaincant, ou même à virer des animateurs !

On mesure l'audience, si vitale pour les chaînes et leurs annonceurs, grâce à un audimètre, qui est un appareil assez semblable à un magnétoscope, et qui se branche sur un poste de télévision. Les informations recueillies sont envoyées toutes les nuits à Médiamétrie, qui analyse et transmet les résultats aux différentes chaînes.

Le panel (échantillon), représentatif de la population française est consulté par téléphone, comme pour tout sondage. On demande aux personnes contactées d'accepter d'avoir un audimètre sur leurs postes.

Actuellement, 3100 foyers constituent le panel Médiamtérie. Une télécommande est délivrée avec l'audimètre. Il faut impérativment l'activer quand on regarde un programme ou désactiver quand on n'est plus devant sa télé. Cette télécommande est équipée de différents boutons permettant d'identifier chaque membres du foyer, baptisé "panéliste".

Ces panélistes ne sont pas rémunérés, mais recoivent tous les ans un dédommagement de 61 € en chèques cadeaux, et l'assurance que Médiamtétrie prend en charge les réparations de leur équipement télévisuel.

Chaque année, on renouvelle 20% du panel. Pour éviter les tricheries, il y a une période probatoire de trois semaines pendant lesquelles Médiamétrie ne prend pas en compte les audiences chez les nouveaux venus. Car l'on sait par expérience que les panélistes zappent beaucoup les premiers jours.

Il faut compter une vingtaine de jours pour que les téléspectateurs reprennent leur habitudes. Si, par extraordinaire, un panéliste reste dix heures sur la même chaine, les services de Médiamétrie le contacte immédiatement pour comprendre ce qui s'est passé.

Les français regardent la télé plus de trois heures et demi par jour. Les parisiens, un peu moins que les provinciaux. Ces derniers regardent davantage à l'heure du déjeuner, tandis que les parisiens, eux, veillent plus tard devant leur le petit écran.

Article paru dans France Dimanche - juillet 2004.